jeudi 5 mars 2015

FASHION MIX

Hello les dolls !

Aujourd'hui je vous retrouve pour un nouvel article pour vous parler d'une exposition que j'ai récemment vu au musée de l'immigration, il s'agit de "Fashion Mix".


                                            


Dans le milieu de la mode, et ceux depuis le XIXème siècle, les termes de "haute couture française" ou encore de "savoir faire français" sont internationalement reconnu dans le monde entier. Ils sont synonymes de luxe et suscitent l'admiration. Or, cette mode française est souvent créée par des stylistes étrangers. 
Ces derniers sont généralement poussés par des raisons politiques, ou encore attirés par la renommée artistique et culturelle ainsi que l'élégance française. Ces créateurs étrangers contribuent ainsi à faire la renommée de la haute couture et du prêt-à-porter français et, de Paris, la capitale internationale de la mode. A commencer par l'anglais  Charles Frederick Worth qui inventa l'industrie de l'art de la haute couture. 

Ce que j'ai pensé de l'exposition : Je l'ai trouvé fort intéressante. Les explications étaient nombreuses sans pour autant devenir ennuyeuses. C'est fou de savoir que la mode, une caractéristique pourtant française ne l'est pas tant que ça. Le seul gros problème avec cette présentation c'est que la disposition et la mise en scène  des éléments étaient franchement laide et pas franchement agréable.



Les photos étant interdites j'ai pris les références de robes m'ayant plu et retrouver par la suite les photos correspondant.





Elsa Schiaparelli (1890-1973). Chapeau-chaussure. Feutre noir, Hiver 1937-1938. Collection Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris © Eric Emo / Galliera / Roger-Viollet




Comme des garçons (Rei Kawabuto) (né en 1969). Robes de la collection White drama.


Cristóbal Balenciaga, ensemble du soir cape et robe, A/H 1962-1963. Taffetas changeant, don de Monsieur Herbert Georges Bigelow. Collection Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris © Eric Emo / Galliera / Roger-Viollet


Worth et Bobergh, robe de ville, vers 1869. Faille de soie, toile de coton enduite. Doublure de tarlatane de coton et de taffetas de soie. Dentelle. Don de Madame Trotzy. Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris© Eric Emo / Galliera / Roger-Viollet



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